Evaluer le raccrochage scolaire à partir des indicateurs quantitatifs : une nécessité ou un prisme
Eric de Saint-Denis et Olivier Haeri
Les résultats présentés sont issus des travaux statistiques effectués par les équipes des Microlycées elles-mêmes engagées dans des processus de recherche-action, devenue « recherche coopérative ». Pour le thème de cette communication, elles sont engagées :
- pour le Microlycée 94 avec le laboratoire Circeft-Escol et Patrick Rayou, université Paris VIII
- pour le Microlycée de Sénart (77) avec le laboratoire Expérice de Paris XIII et Jean Biarnès, professeur émérite en Sciences de l’Education
Le choix de partir de données quantitatives est volontaire dans le double contexte de la demande institutionnelle à ce propos et de l’indifférence relative des écoles différentes au sujet des données quantitatives.
Il ne s’agit toutefois pas de se limiter à des indicateurs strictement quantitatifs demandés par l’institution comme le taux de redoublement ou le taux de réussite au bac. Ces études offrent l’opportunité de réfléchir sur d’autres indicateurs autour du « raccrochage scolaire», selon des approches qui mêlent les aspects quantitatifs et qualitatifs.
Le thème abordé
Une brève présentation des Microlycées et de leur spécificité dans le paysage des écoles différentes sera faite. On se propose ensuite de questionner la notion de résultat à partir de deux approches complémentaires et différentes.
- Dans une première partie, on discutera des indicateurs fréquemment retenus dans l’Education nationale tels que le taux de présence des élèves, la réussite au bac ou le suivi par la base informatique « parcours en ligne ». On montrera la difficulté de lecture de ce type de statistiques pour aborder la complexité des situations des élèves et on présentera les biais liés au choix de tel ou tel indicateur retenu.
- Dans une seconde partie, on analysera d’une part le parcours des élèves dans leur scolarité et d’autre part leur situation d’insertion socioprofessionnelle 4 ans après leur sortie d’un Microlycée. On proposera une discussion sur la notion même de « résultat ».
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- pour le Microlycée 94 avec le laboratoire Circeft-Escol et Patrick Rayou, université Paris VIII
- pour le Microlycée de Sénart (77) avec le laboratoire Expérice de Paris XIII et Jean Biarnès, professeur émérite en Sciences de l’Education
Le choix de partir de données quantitatives est volontaire dans le double contexte de la demande institutionnelle à ce propos et de l’indifférence relative des écoles différentes au sujet des données quantitatives.
Il ne s’agit toutefois pas de se limiter à des indicateurs strictement quantitatifs demandés par l’institution comme le taux de redoublement ou le taux de réussite au bac. Ces études offrent l’opportunité de réfléchir sur d’autres indicateurs autour du « raccrochage scolaire», selon des approches qui mêlent les aspects quantitatifs et qualitatifs.
Le thème abordé
Une brève présentation des Microlycées et de leur spécificité dans le paysage des écoles différentes sera faite. On se propose ensuite de questionner la notion de résultat à partir de deux approches complémentaires et différentes.
- Dans une première partie, on discutera des indicateurs fréquemment retenus dans l’Education nationale tels que le taux de présence des élèves, la réussite au bac ou le suivi par la base informatique « parcours en ligne ». On montrera la difficulté de lecture de ce type de statistiques pour aborder la complexité des situations des élèves et on présentera les biais liés au choix de tel ou tel indicateur retenu.
- Dans une seconde partie, on analysera d’une part le parcours des élèves dans leur scolarité et d’autre part leur situation d’insertion socioprofessionnelle 4 ans après leur sortie d’un Microlycée. On proposera une discussion sur la notion même de « résultat ».
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